Max PLANCK – Rare dédicace à la veuve d’un confrère physicien (1942)
Envoi autographe signé sur une plaquette imprimée intitulée « Sinn und Grenzen der exakten Wissenschat » [Sens et limites des sciences exactes]. Tiré à part de la revue Die Naturwissenschaften, Springer-Verlag Berlin, fasc. 9/10 – S.L., 18 juillet 1942 – 9 pp. 27 x 19,5 cm, paginées 125-133, brochées.
« Für Gertrud Richarz, zur freundlichen Erinnerung an den Verf[asser]. »
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Max PLANCK (1858 – 1947) – Physicien, un des fondateurs de la mécanique quantique
Envoi autographe signé sur une plaquette imprimée intitulée « Sinn und Grenzen der exakten Wissenschat » [Sens et limites des sciences exactes]. Tiré à part de la revue Die Naturwissenschaften, Springer-Verlag Berlin, fasc. 9/10 – S.L., 18 juillet 1942 – 9 pp. 27 x 19,5 cm, paginées 125-133, brochées.
Rare dédicace sur un texte scientifique majeur
« Für Gertrud Richarz, zur freundlichen Erinnerung an den Verf[asser]. » [Pour Gertrud Richarz, en amical souvenir de l’auteur]
Gertrud Richarz (née en 1867) est la veuve du physicien Franz Richarz (1860-1920), auteur notamment des Vorlesungen über Theorie der Wärme (Leçons sur la théorie de la chaleur – 1903) et des Anfangsgründe der Maxwellschen Theorie verknüpft mit der Elektronentheorie (Les rudiments de la théorie de Maxwell combinés à la théorie de l’électron – 1909). À ne pas confondre avec son père, également prénommé Franz (1812-1887), psychiatre renommé qui fut le médecin traitant de Robert Schumann.
Texte d’une conférence donnée en novembre 1941 à la Harnack-Haus der Kaiser-Wilhem-Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften, dans laquelle Max Planck distinguait d’une part « le monde phénoménologique » (« die phänomenologische Welt »), c’est à dire l’image scientifique du monde » (« das wissenschaftliche Weltbild »), et d’autre part « le monde réel au sens absolu » (« die reale Welt im absoluten Sinn »).
Quelques fentes aux plis, voir photos.